L’arrachage de carottes est attaqué. Et il faut le dire, il va falloir pousser les murs. Alors qu’il reste les choux blancs et les radis noirs à rentrer.
Donc en attendant que les murs s’écartent, nous cherchons des solutions diverses et variées avec notre imagination débordante pour stocker les carottes. Sans oublier qu’il ne faut ni qu’elles chauffent, ni qu’elles gèlent. Bref, du bonheur en perspective.
Sans oublier qu’on a un petit papa aussi stressé qu’avec ses pommes de terre.
Mais dans le fond, on sait bien qu’on ne va pas assez vite et qu’on fait mal… alors, ma foi…
Cela veut aussi dire, que cette année, nous aurons pour mission de vous rendre aimable (n’est-ce pas la qualité attribuée à l’absorption de carotte ?) et cela dès la semaine prochaine.
En même temps, on diversifiera nos activités parce que pour le moment, c’est surtout le poireau. Et cette année, le poireau, il n’est pas drôle. Il a un peu de protéine avec les petits habitants qui laissent des traces. Il n’est pas très gros. Il est plein d’herbes qui laissent traîner leurs graines partout (alors qu’il est très mal élevé de tout laisser traîner…) Que du bonheur quoi!
Mais on ne fait pas que ça. On essaye d’éliminer les pucerons dans la salade (conséquence de la chaleur) et au couteau, c’est eux qui gagnent.
On essaye de finir de tout rentrer avant Noël (parce que mine de rien, on arrive en Décembre et d’habitude, on a tout bouclé avant le 11 novembre)
Et on essaye de préparer le printemps : épinards, carottes, radis qui sont bien levés, une autre saison de choux (broco, fleur et pointus sachant que ces derniers auront 100% de réussite et beaucoup moins pour les autres)
Et puis ça ne sera pas mal pour la semaine…
Bonne semaine.