« Vous savez quoi ? On ne sera jamais dans le panier ! »
2kg de pommes de terre Ditta
4 oignons
1 part de chou blanc
1kg de navets
1.1kg de carottes
2 betteraves
« Vous savez quoi ? On ne sera jamais dans le panier ! »
2kg de pommes de terre Ditta
4 oignons
1 part de chou blanc
1kg de navets
1.1kg de carottes
2 betteraves
Vous comprendrez qu’entre la grippe, ce temps où il est exclu de semer les petits pois vendredi prochain et une année 2012 qui m’a lessivé le moral (et celui de notre comptable…), aujourd’hui, il n’y a rien à dire.
Bonne semaine.
http://www.novissen.com/Pages/default.aspx
Voici un lien pour apprendre à connaître l’association NOVISSEN et son combat.
1,5 kg de pommes de terre DITTA
2 oignons
0.5kg de panais
1 betterave
1kg de carottes
2 salades
1 chou vert
4 poireaux
Du soleil qui brille depuis trois jours et nous faisons le tour des serres au cas où un légume aurait explosé pendant le week-end.
Rien d’aussi spectaculaire ne s’est passé. Peut-être que les épinards ont pris 1 mm.
Pour le reste, rien en vue. Les radis poussent le voile de protection de leurs 2 feuilles. Les herbes écartent la terre. Les épinards (enfin ceux qui ont été semés il y a 15 jours) n’ont laissé qu’une cosse de graine vide… ? Mulot ou oiseaux, tel est le mystère, mais quelqu’un s’est régalé.
Dans les cubes, les échalotes ressemblent à des fils, ses copains (oignons jaunes et rouges) sont à la traîne, mais on a tout couvert parce que l’année dernière (ou celle d’avant) un petit oiseau farceur avait trouvé drôle de tirer sur les jeunes pousses !
Demain nous sommes en racine, donc on sème des navets. Cinq rangs avaient déjà été semés, mais comme il faut tout faire en 15 jours sous peine d’avoir des surprises (au choix pourriture ou montée de navet…), mais comme les premiers ne sont pas sortis peut-être que tout viendra ensemble. Ou peut-être pas.
On sème des radis. Ben oui, on en profite jusqu’à Mai, après il faudra s’accrocher à la table pour les manger (ou mettre beaucoup de beurre).
On sème des oignons blancs et je repique les brocolis. Après tout, nous avons un début de maîtrise (qui s’appelle inondation et fumure, surtout la fumure et peut-être le bichonnage du grand-père), alors on en profite.
Et pas de panique, tout cela ne nous empêchera pas de préparer votre légume number one cet hiver : le poireau (respirez, nous n’en sommes qu’à la moitié du carré…)
Et comme on devient économe de notre temps, mon père est parti avec mon frère chercher 3 chauffages d’appoint pour les tomates. Parce que c’est toujours pareil avec elles, elles ne veulent pas attendre pour être plantées et si on les plante, elles se plaignent d’avoir trop froid. Alors il faut leur mettre une petite laine (c’est là qu’on va économiser du temps) et après, ces dames se retrouvent toutes décoiffées et font la tête (enfin surtout nous quand il faut les attacher et qu’elles sont toutes tordues (et c’est encore là qu’on espère gagner du temps)
Bonne semaine.
« Aujourd’hui, un milliard d’êtres humains ne mangent pas à leur faim. Par commodité, ou lâcheté, nous voulons croire qu’il s’agit là d’une fatalité: ce serait la cause des guerres, de l’explosion démographique, des aléas du climat. En réalité, les causes sont ailleurs. Du côté de nos agricultures subventionnées et hautement mécanisées. »
Ainsi commence ce livre dont je vous recommande la lecture. Des solutions existent, nous dit Marc Dufumier, ingénieur agronome et professeur émérite en agriculture comparée et développement agricole à l’AgroParistech. Il est également expert auprès de le FAO (Food and Agriculture Organization des Nations Unies) et de la Banque mondiale.
Bonne lecture
Gisèle
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En cette période de réflexion sur la traçabilité de la viande , voici une parole de boucher entendue à la radio:
« Pour trouver une bonne bête, il faut trouver la bonne personne pour élever la bête. »
Défendons les circuits courts, le lien entre éleveurs et consommateurs ainsi que la qualité des produits.