0.5kg de fenouil
1 chou vert
1kg d’oignons jaunes
1kg de carottes
1 part de courge
1 betterave
0.2kg de mâche
Vous l’avez peut-être deviné, et ceux qui avaient la naïveté de n’avoir rien remarqué, vont s’apercevoir qu’il n’y a plus de place sur les « i » tellement, on y met de points… enfin, je devrais dire de choux…
Certes, vous échappez aux panais. Mais (et avec un plaisir sadique), vous ne couperez pas aux choux. Déjà le Kale (nouveauté dans nos champs, mais réclamé par certains et aussi par notre clientèle anglaise et bobo !) qui, malgré la chaleur, loin des temps anglais, s’est plu ici. Ensuite le vert et on a commencé avec une dose homéopathique (oui, la moitié était homéopathique !) et vous remercierez ma bonté de ne les avoir plantés qu’en juillet pour éviter de commencer à en manger dès Août ! Pour compléter la gamme, il y a le chou-fleur, avec la variante Romanesco. Pour finir par les choux cabus (lisses) blancs ou rouges (mais plus blanc quand même !), et pourtant, je désespérais de les voir tourner en Août. Au final, il n’y a que 11 palox en stockage (allez, je vous dis le poids d’un palox de choux pour que vous puissiez imaginez tout le bonheur qui vous attend : 200kg) et seulement 4 pour les rouges…
Et promis Jean, je te cale des choux Bruxelles durant l’hiver…
Bref, s’il y avait autant de carottes l’année dernière, c’était pour vous adoucir cette année… parce qu’honnêtement, cela fait beaucoup de bonheur d’ici Avril.
Mais ne vous inquiétez pas, je sais que vous êtes fragiles et que trop de bonheur fait mal, alors il y a aussi du poireau…
Bonne semaine…
0.5kg de fenouils
0.6kg de carottes
1 part de courge
1 part de chou blanc
0.5kg de tomates ou 0.6kg de courgettes
1 betterave
1 côte de bettes
0.2kg de mâche
Vendredi dernier n’était pas un vendredi 13, mais en avait l’allure pour Alberto. Il a commencé la journée en se cassant une dent (peut-être un abus de chocolat…) et a fini la journée par se prendre un verre de la serre sur la tête en tirant sur une tomate dont la tige avait monté le plus haut qu’elle pouvait. Fort heureusement, rien de dramatique, excepté un point de suture sur son crâne. Merci au chapeau !
Sinon, rien d’aussi épique, mais on commence à trouver qu’il fait froid. La mâche picote les doigts, l’eau gelée des épinards brûle les mains et les T-shirts se rallongent pour couvrir le dos…
N’empêche, on a quand même ramassé toutes les betteraves, tous les potirons. Le reste patiente, et nous, on est un peu pressé de finir parce que l’année a été bien remplie et qu’une pause ne ferait pas de mal… mais tant que choux, céleris et carottes seront en terre, il y a de quoi nous occuper…
Bonne semaine…
La ville de Guyancourt vous invite à la projection du film
« UNE PLANETE ET UNE CIVILISATION »
Suivie d’un débat avec le réalisateur Gaël Derive
Le film « Une planète et une civilisation » témoigne du quotidien de 6 hommes et femmes dont la vie est bouleversée par les dérèglements climatiques.
Il propose un autre regard sur les nouvelles problématiques humaines et écologiques liées aux bouleversements du climat. |
Voir la bande annonce du film : www.ville-guyancourt.fr (rubrique agenda)
Samedi 7 novembre à 20h
Maison de quartier Joseph Kosma
Place Jacques Brel – 78280 Guyancourt
GRATUIT
Inscriptions obligatoires au 01 30 48 33 48 ou developpement.durable@ville-guyancourt.fr
http://www.tv-replay.fr/redirection/14-10-15/28-minutes-arte-11257049.html
Entretien avec l’écrivain français d’origine algérienne Pierre Rabhi. Son nouvel ouvrage: l’agroécologie, une éthique de vie.
1 part de courge
2 poireaux
1kg de pommes de terre grenaille
0.4kg de chou kale
0.5kg d’ échalotes ou 1 chou Romanesco
1 fenouil
1 portion d’un légume surprise
Encore une semaine d’écoulée, encore une semaine à barrer avant les vacances, encore une semaine qui nous rapproche du calme et de la possibilité de regarder par-dessus notre épaule, pour admirer l’année 2015. Parce que cette année, on aime bien ce que l’on voit (d’accord, on se fait un peu pipi dessus, mais bon…)
La pression retombe, doucement. Après tout, on ne peut plus rien faire. On a juste à récolter. D’accord, c’est un gros morceau, puisque potirons, betteraves, radis noirs, céleris raves, carottes, choux blancs et rouges ne sauteront pas tous seuls dans les caisses.
N’empêche, plus de désherbage. Plus de surveillance de limaces ou de lapins.
Juste un « scrutage » du ciel : pull ou T-shirt ? Ciré ou manteau ?
La grosse période est close. On prend notre temps (mais pas trop, Carlos nous surveille…). On pèse les choux fleurs (certains sont à 2.4kg…). On commence à faire le point (bon planter des concombres en Août n’est pas une idée brillante…). On parle vacances (Alberto se prépare à partir, Laure va finaliser son voyage de noce, Carlos va-t-il oui ou non se laisser convaincre par Carla ?)
Et la vie des légumes continue. Donc oui, nos carottes seront énormes , et c’est officiel, les panais ne feront qu’une apparition fugace dans les paniers cette année !
Bonne semaine…
L’ObSoCo avait réuni dans son cercle, mardi 21 janvier 2014, à l’Université Paris-Diderot un ensemble d’économistes renommés afin d’échanger sur la fin d’une société de consommation. Le lieu idéal pour assister à la juxtaposition de grilles de lecture et de controverses sur la transition en marche. Voilà donc un petit panorama de différents visages que le monde académique donne à la consommation d’aujourd’hui.