Nous dirons que nous ne sommes pas encore en vacances mais que nous en avons besoin…
La fatigue de l’année nous fait faire des tours de bocal. J’appelle Carlos, il ne répond pas, il me rappelle et je ne sais plus ce que je voulais (et cela en 10 min…)
Vendredi, une pile me tenait, Laure me donne une caisse (légère) et la pile, qui me tenait, se met à tenir Laure…
Carlos gambade… Normal, il part au Portugal dimanche.
Alberto se donne des forces à coup de chocolat et quand on sent une baisse de régime nous lui fournissons sa drogue. D’ailleurs, son dentiste nous remercie fortement pour sa prime de fin d’année…
Antoine, qui a survécu à la saison, même quand Carlos n’était pas mignon, dixit Carlos-le-Perfide, se prépare à souffler et se demande s’il ne va pas migrer au Danemark pour nous échapper… Bon, peut-être parce qu’il trouvera enfin un boulot dans sa branche…
Et le Grand Chef, égal à lui-même, a oublié la définition du mot « retraite » parce que c’est beaucoup plus amusant de nous faire ramper dans la boue, ou dernier passe-temps, voir en combien de passages il pourra faire tomber la clôture de l’Ancêtre en labourant du mauvais côté… N’empêche qu’il réclame lui aussi les vacances, encore qu’Annick ne sera pas d’accord pour qu’il emmène son tracteur-doudou…
Mais cela ne nous regarde pas !
Bonne semaine…