0.4 kilo de petit pois
1 botte d’oignons
1kg de courgettes
0.5 kilo de tétragones
1 herbe
2 salades
0.4 kilo de petit pois
1 botte d’oignons
1kg de courgettes
0.5 kilo de tétragones
1 herbe
2 salades
Nous sommes à la mi-temps (semaine 26 !) et la partie (la récolte) n’est pas encore jouée. Bien sûr, ce ne sera pas notre meilleur match (année) mais nous donnons notre meilleur jeu de jambes (coup de binette !) Carlos a même cru voir un carton (tomate) rouge qui aurait échappé à l’arbitre (tous les autres)… mais bon, tant que nous n’avons pas le droit à la vidéo, tout ce que nous ne voyons pas n’existe pas !
Bref nos fans (vous tous) attendent la fin du match pour savoir quelle équipe (nous ou Dame Nature) supporter pour l’année prochaine.
Dans tous les cas, nous finirons sur les rotules parce que les prolongations (de l’hiver) ne sont pas ce que nous préférons.
Sans parler de tous ces entraînements (semis) prévus pour la suite qui nous laissent sceptiques quant à la méthode (au planning).
Mais bon, ce n’est pas un petit crachin désagréable qui va nous pourrir notre 2è mi-temps, non ?
Bonne semaine…
Cette recette est réalisée avec des champignons frais et séchés.
Ingrédients:
2 oignons,
riz pour rizotto(1 verre par personne),
1 verre de vin blanc sec,
champignons séchés,
champignons frais (tous les champignons conviennent),
parmesan râpé,
beurre,
1 cube de bouillon de bœuf ou de poule.
Préparation:
Préparer le bouillon de poule en ajoutant l’eau chaude sur le cube. Préparer le bouillon avec les champignons séchés en les faisant tremper dans un bol d’eau chaude.
Dans une cocotte faire revenir les oignons jusqu’à ce qu’ils soient transparents.
Les retirer, faire revenir le riz jusqu’à ce qu’il devienne blanc.
Remettre les oignons avec le riz, verser le vin blanc et à feu doux remuer jusqu’à absorption puis continuer avec le jus des champignons séchés puis avec le bouillon de poule sans cesser de remuer.
Quand le riz commence à être moins ferme ajouter les champignons frais (rincés) et continuer la cuisson tout en versant le bouillon.
Le riz doit être servi légèrement ferme.
Arrêter la cuisson, verser un bon morceau de beurre et du parmesan, remuez et servez c’est délicieux.
Cet été, vous pourrez vous approvisionner sur place à Montesson.
Vente directe de champignons : du lundi au vendredi 11h/12h30 et 13h30/15h – Samedi 11h/12h15 et 15h/16h – Dimanche de 11h/12h
Merci d’appeler avant votre venue au 06 09 06 21 52
Angel MOIOLI
Angle de l’avenue du Général de Gaulle et de la rue Jean Macé
78360 MONTESSON
0.4 kilos de pommes de terre nouvelles
0.4 kilos de petit pois
1 botte de carottes
1 chou pointu
2 kilos de courgettes
2 salades
Comme nous aimons bien jouer, nous avons demandé à Antoine de revêtir son super(be) costume et de nous rejoindre dans la patouille… Plus nous sommes de fous, plus nous rions… jaune, certes !
Premier bilan du mini déluge : des tomates vertes mais très, très vertes… et nous n’avons pas franchement envie de nous mettre à nu pour les faire rougir. Des concombres a l’état larvaire (parce qu’après un coup d’œil à l’année dernière, qui n’était déjà pas hâtive, ils sont très, très en retard). Des courgettes en serre qui sont magnifiques, et pour le coup, peut-être un peu grosses. En revanche la saison plein champ n’a pas du tout aimé avoir les pieds dans l’eau, d’ailleurs la moitié a décidé de passer l’arme à gauche… Pour le moment, les pommes de terre, qui avait aussi du retard (béni soit ce que vous voulez !) ont un beau feuillage vert sans une tâche de marron, ce qui est bon signe. Les petits pois ont les pieds un peu jaunes et sont tellement bons qu’ils sont testés par les bêtes sauvages, mais nous espérons en avoir assez pour nous. Les fèves ont l’air d’avoir chopé le mildiou mais comme nous mangeons l’intérieur et que tout le monde sait que c’est la beauté intérieure qui compte, nous espérons que leur beauté n’auront pas disparu d’ici qu’elles soient assez grosses pour être grignotées. Les patates douces sont plantées (deuxième essai et sachez que 2016 a un petit goût de 2012 dans notre désespoir cultural… donc si elles ne donnent rien encore cette année, il y a de forte chance qu’elles disparaissent de ma mémoire !). Les choux chinois ont été dégustés par l’altise, laissant des feuilles de dentelle, jaunis par l’eau stagnante, et en fleur avec les températures hors sujet…
Ce n’est pas brillant et le ciel est un peu agaçant, mais comme vous êtes là et que vous aimez nos légumes, nous chercherons le soleil pendant nos vacances et nous contenterons de ce que Dame Nature a bien voulu nous laisser… bref, apprenez à aimer les navets ou à faire de la confiture de tomates vertes !
Bonne semaine…
0.7 kg de pommes de terre nouvelles
1 botte de betteraves ou de navets
1 botte de carottes
1 chou fleur
0.7 kg de courgettes
2 salades
Cela pourrait être pire (mais nous préfèrerions mieux, quand même !).
Le problème (surtout pour vous, nous, nous avons tout notre temps… et Rungis pour temporiser !) est que pendant ces 15 jours (très) humides, le temps a été comme suspendu (noyé diront certains) pour nos légumes… donc il y aura du retard (je pense notamment aux tomates qui sont plus parties pour un rougissement vers le 1er juillet qu’au 20 juin…) et puis, certaines fleurs ont coulé (ah ! ah !), ce qui signifie qu’il faut attendre la prochaine pour avoir le fruit !
Mais si le temps se maintient au sec (certes avec les petites pluies d’hier, la forêt a recommencé à pleurer sur la route son trop plein d’émotion !), nous ne pourrons pas dire qu’il y a eu des dégâts. Du retard, oui (peut-être 3 semaines pour les moins pressés), du calibre plus petit, oui (forcement, 170mm d’eau en 2 jours, cela tasse un peu le sol et empêche les racines de bien se développer…), du rendement en moins, oui (les fleurs qui ont disparu avec la promesse d’un bébé légume…) mais pas de catastrophe.
Beaucoup d’interrogations parce que l’herbe pousse trop (elle !) pour savoir si Antoine ne doit rentrer en scène qu’en Juillet ou tout de suite pour éradiquer la mauvaise graine, parce qu’aucun légume ne nous a chuchoté à l’oreille pour nous dire comment il allait, parce que beaucoup d’arcs en ciel égayent notre ciel, nous indiquant qu’un trésor se cache à leurs pieds (nos légumes ?!), ne nous montrant que la beauté des gouttelettes suspendues…
Bonne semaine…
Bon, on n’a pas planté les tomates parce que l’eau a aussi coulé dans les serres… L’air étant saturé d’humidité, le mildiou a commencé à se développer dans les plants. Donc nous plantons quand même en aérant beaucoup et avec un passage de bouillie bordelaise pour essayer d’enrayer la maladie qui est là.
Les courgettes ont un peu flotté donc le peu qu’il y a, va au panier.
Les potirons auront du mal à être plantés puisque nous nous enfonçons encore jusqu’à la cheville, et ils attendent déjà depuis 15 jours…
Les pommes de terre doivent être butées, mais c’est loin d’être gagné…
Les salades n’ont pas aimé la baignade de pieds.
Le céleri rave est bien vert… mais d’herbe !
Bref, cela pourrait être pire. Notre Dudu n’a plus rien et sur Maisons Laffitte, les légumes nagent sous 2 mètres d’eau…
Mais ce ne sera pas une bonne année, et pour le moment, nous ne pouvons rien envisager parce que la moitié de la journée se passe dans une brume dûe à l’évaporation de l’eau dans le sol, amplifiant l’atmosphère moite propice aux maladies cryptogamiques, ce qui mettrait fin à notre année.
Donc aucun pronostic, mais ce qui est certain, c’est que si le temps ne se met pas au très beau (soleil et + de 25°C) ces 3 prochaines semaines pour assainir l’atmosphère, nous suspendrons toutes les livraisons juillet/août en attendant de voir si l’automne peut être sauvé…
Bonne semaine…