Aujourd’hui, nous embrayons sur le mode « patate ». A l’aube (j’exagère à peine), la machine est sortie, nettoyée, graissée, bref chouchoutée pour sortir nos petites patates de terre. Ensuite, le Grand Chef tremble d’excitation. Parce que sa retraite le rend plus cool, mais n’exagérons pas… nous attendions depuis 3 semaines les signes d’impatience, mais rien. Sauf depuis mercredi dernier où dans les 3 premiers mots qu’il sort en croisant Carlos, il y a « patate »…
Donc nous sommes prêts. Les garçons commencent. Les filles continuent à partir de 16h30 et si tout se passe bien, la dernière sera hors sol dans 15 jours…
Et entre temps, vite, vite, il faudra tout faire. Cueillir tomates, courgettes, haricots, épinards et tout le reste. Chacun ses p’tits boulots. Et parfois aux sons qui s’échappent, nous constatons 3 têtes d’hommes qui dépassent de la verdure, occupés à botteler les oignons tout en papotant comme une bande de copines devant le thé…
Merveilleuse semaine !
Aujourd’hui, nous embrayons sur le mode « patate ». A l’aube (j’exagère à peine), la machine est sortie, nettoyée, graissée, bref chouchoutée pour sortir nos petites patates de terre. Ensuite, le Grand Chef tremble d’excitation. Parce que sa retraite le rend plus cool, mais n’exagérons pas… nous attendions depuis 3 semaines les signes d’impatience, mais rien. Sauf depuis mercredi dernier où dans les 3 premiers mots qu’il sort en croisant Carlos, il y a « patate »…
Donc nous sommes prêts. Les garçons commencent. Les filles continuent à partir de 16h30 et si tout se passe bien, la dernière sera hors sol dans 15 jours…
Et entre temps, vite, vite, il faudra tout faire. Cueillir tomates, courgettes, haricots, épinards et tout le reste. Chacun ses p’tits boulots. Et parfois aux sons qui s’échappent, nous constatons 3 têtes d’hommes qui dépassent de la verdure, occupés à botteler les oignons tout en papotant comme une bande de copines devant le thé…
Merveilleuse semaine !