Chaque année, l’impulsion est donnée par un mot. Qui, clairement, est le reflet de l’esprit de fin d’année. Et 2022 sera FUN mais dans le genre n’importe quoi… Ben, son impulsion se fait déjà sentir. Je commence donc par semer (à l’heure) betterave et roquette (d’ailleurs, très fière de mon côté bon élève, je poste une petite photo). Je prends donc ma barquette de poissonnier vieille de plus de 15ans (parce que oui, les semis adorent le polystyrène pour lever, mais j’ai toujours regardé ma mère faire les poubelles parce que, vraiment, l’odeur du poisson, ce n’est pas possible…). Donc je la prends… et cracccc !!!! Bref, mes semis à moitié retournés. Donc autant vous dire que cela commençait fort car j’ai tout remis en vrac en me disant « advienne que pourra ! ».
Mercredi, Laure et moi faisions tomber une pile du camion au marché parce qu’une voiture nous gênait, le hayon n’était pas de niveau et notre pile sous un charriot qui partait à l’aventure. Passé le bouboubou, nous avons bien ri de ce début en fanfare…
Jeudi, la beauté d’un paysage givré. Nos légumes pris dans un écrin glacé et nous tous obligés de changer nos plans. Et au moment où nous regardons la montre (18h20) alors qu’on se croyait plus tôt…
Vendredi est toujours une journée de grand n’importe quoi où nous courons partout donc rien n’a changé, si ce n’est cette impression de n’avoir eu que des vendredis… La tête ailleurs, suivant une idée, revenant sur nos pas, fronçant les sourcils pour savoir où nous nous sommes semés, échanger autour des choux de Bruxelles. Nous amuser de constater que la peste et le choléra se sont invités partout pendant les fêtes. Et revenir au planning. Réussir à tout faire (surtout si nous ne pensons pas à ce que nous avons oublié…) et penser à la semaine prochaine : semis fenouil, navet, chou rave, herbe… et peut-être serait-il temps de jeter un coup d’œil aux carottes pour savoir s’il faut commencer le désherbage…
Belle semaine à tous !