Pendant que le chat (Carlos) se remet, les souris (la bande de petits fourbes que nous sommes) s’organisent…
Donc il y a les motteuses à descendre parce que, à monter le terreau qui est séquestré par des bigbags d’engrais (30min d’escalade) pour en faire des cubes et ensuite ramener les caisses à leur base pour le repiquage, nous avons un problème d’efficience. Certes, si nous avons la prise et l’eau, il nous manque tout de même la place pour les ranger. Mais nous trouverons… parce qu’ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait !
Et toute cette opération pour nos Précieuses…
Il y a la rhubarbe à désherber (et peut-être le rang d’herbe aromatique à côté) pour être tranquille.
Les garçons envisagent de classer les bâches pour les serres, histoire de ne plus jouer à plouf-plouf-ce-sera-toi-qui-sera-dans-cette-serre. Mais grands adeptes du poser-c’est-ranger, cela tiendra-t-il ?
Exploitation de mineures pour leur montrer que le père noël, malgré nos allégations les 6 premières années de leurs vies, n’existe vraiment pas et que l’huile de coude est ce qu’on a fait de mieux ces derniers siècles (après le livre « la semaine de 4h »).
Une journée à sentir la mer et le vent (parce qu’il faut bien une carotte pour finir de les désherber).
Toujours notre jeu de Tétris pour les légumes de printemps… et, malgré l’oubli d’une nouvelle serre, il faudra peut-être se pencher sur le projet.
Ouvrir le planning et constater que l’hiver part, et commencer aussi la saison en extérieur.
La roue tourne et, s’il n’est pas question de la ralentir, bientôt nous préfèrerons savourer le soleil sur nos peaux en fermant nos oreilles au doux chant du travail…
Belle semaine à tous !