On connaissait la Nef, Terre de liens et Garrigue pour promouvoir l’agriculture bio, il y a maintenant un acteur en ligne pour le financement des projets de transition vers les énergies vertes .
On peut ainsi placer son argent en contribuant au développement des énergies renouvelables.
Comment ça marche ?
1 J’éco-investis dans un projet qui a du sens
2 Mon projet produit de l’électricité verte
3 Je suis remboursé avec des intérêts
Le festival des Alternatives les 6 et 7 juin 2015 à La Verrière
L’équipe d’ALTERNATIBA SQY nous écrit:
Chers Amapiens,
Peut-être avez-vous déjà entendu parler d’Alternatiba, cette initiative citoyenne née en octobre 2013 à Bayonne, qui vise à organiser partout en France et en Europe, des festivals des alternatives pour lutter contre le dérèglement climatique, dans l’optique de la COP21 (conférence mondiale sur le climat) qui aura lieu à Paris au mois de décembre. Plus de 60 événements sont en projet.
Localement, le festival Alternatiba SQY, qui aura lieu à La Verrière les 6 et 7 juin, est en préparation active.
Dans des allures à la fois de fête populaire, d’université à ciel ouvert, de salon des alternatives concrètes et des solutions joyeuses, Alternatiba est un village convivial, festif et instructif. A l’aide de conférences, expositions, stands, ateliers et démonstrations pratiques, mais également de repas festifs, marchés paysans, concerts, déambulations artistiques, chants et danses etc. Alternatiba montre que, non seulement les solutions au dérèglement climatique existent, mais qu’en plus, elles construisent une société et une vie plus humaines, plus justes, plus solidaires, plus conviviales.
Ce village comportera différents quartiers liés à la thématique du climat parmi lesquels :
Nous sommes convaincus que les AMAP s’inscrivent dans cette dynamique et il serait très pertinent qu’elles prennent leur place au sein des 2 premiers quartiers puisqu’elles promeuvent une autre manière de se nourrir et de consommer. Un village des AMAP locales pourrait ainsi se constituer, ce qui vous permettrait également d’échanger sur vos pratiques.
Vous retrouverez sur le site alternatiba.eu/sqy les dernières informations, la présentation des groupes de travail (https://alternatiba.eu/sqy/simpliquer/), notre charte écrite et validée ensemble (https://alternatiba.eu/sqy/notre-charte/) .
Pour tout renseignement, contacter :
Khaled GAIJI au 06 76 34 86 49 ou Tatiana Tirloy au 06 88 96 68 77
Cordialement,
L’équipe Alternatiba SQY
1kg de pommes de terre Charlotte
1kg de carottes
0.6kg de panais
1 part de courge
2 poireaux
0.3kg d’ oignons rouges
0.6kg de navets
1 part de céleri rave
Quand la graine de tomate devient une graine de soleil…
10 jours plus tard et les tomates culminent du haut de leur 3 cm. Cela veut dire une séance en tête à tête avec elle pour le repiquage. Quelques heures de bonheur où la grisaille ne nous atteint pas.
Surtout que Carlos, cet infâme, m’a piqué mon p’tit boulot (nettoyer les fraisiers) parce qu’il pleuvait samedi. Alors forcément, s’il pleuvait… je m’incline.
Mais s’il approche mes tomates, je grogne (ou je pars en vacances…)
Le persil a enfin percé le terreau, reste la tétragone qui prend son temps (ou alors il va falloir la recommencer, en même temps, cette jeune fille n’en fait toujours qu’à sa tête et préfère pousser là où elle ne devrait pas)
Tout doucement, mais sûrement, la serre à plants se remplie et nous, on attend le top départ.
Bonne semaine…
https://www.facebook.com/sarlrenard
La ville de Guyancourt vous invite à une conférence sur les changements climatiques
« Réchauffement climatique : du constat à l’action ? »
animée par Jean JOUZEL, climatologue, co-lauréat du prix Nobel de la Paix
Vendredi 13 mars à 20h30
Auditorium de la Batterie – La Batterie
1 rue de la Redoute – 78280 Guyancourt
Inscriptions obligatoires au 01 30 48 33 48 ou developpement.durable@ville-guyancourt.fr
1kg de pommes de terre Charlotte
1kg de carottes
0.5kg d’oignons jaunes
0.5kg de navets
1 part de courge
2 poireaux
0.6kg de panais
1 légume surprise
Nos précieuses (comprenez nos tomates) sont enfin semées et si elles ne pointent pas encore le bout d’une feuille, cela annonce le bon côté de l’année. Certes encore 5 mois avant que la première ravisse mes papilles (forcément, je suis privilégiée…) mais tout de même, ouvrir le premier paquet de graines de tomates a quelque chose de festif.
Les garçons sèment les oignons aujourd’hui : blanc, jaune, rouge, échalote. Sans oublier (parce que c’était un peu ce qu’on avait fait…) encore des épinards. La salade attend au chaud, parce que les 9000 plantées en octobre n’ont pas survécu au choc thermique, alors on aimerait ne pas passer notre temps à planter pour rien (parce que, quitte à ne rien avoir, autant profiter du feu de cheminée !).
On a fini le pain de sucre (je sens des mines réjouies) et la chicorée rouge… ce qui veut dire qu’il reste de la carotte (et si elle n’est pas très belle, le fait que vous soyez venus pour en ramasser a permis d’avoir peu de pourriture parce qu’à cette époque, on en jette environ la moitié contre 5% actuellement…), donc c’est dingue ce que vous allez être aimables à la fin de l’hiver !
Le persil commence à s’étoffer un peu (signe qu’on est sur la bonne voie, pas que vous allez en avoir…), les épinards restent maigrichons et même si le quinté gagnant cette année est pdt (encore que j’ai limité au début pour couvrir mes arrières), carottes, navets, oignons et céleris raves, on est content que des maraîchers à côté de chez nous se soient installés en bio et réussissent d’autres légumes (en occurrence la courge musquée et les poireaux parce que là, tous nos plus gros sont partis alors va falloir qu’ils gagnent quelques feuilles) pour rendre l’hiver moins morne…
Bonne semaine…
https://www.facebook.com/sarlrenard
http://www.arte.tv/guide/fr/050583-000/nature-le-nouvel-eldorado-de-la-finance
La course au profit généralisé et le marché global ont largement contribué à la crise écologique actuelle. Pourtant, les mondes de l’économie et de la finance prétendent renverser la tendance et sauver la planète en la protégeant à leur façon, c’est-à-dire avec de l’argent. C’est bien l’émergence d’un nouveau marché, celui de la protection environnementale, que décrypte le documentaire de Sandrine Feydel et Denis Delestrac – l’auteur du Sable, enquête sur une disparition, récemment diffusé par ARTE. Encore embryonnaire il y a quelques années, ce marché est aujourd’hui l’un des plus prometteurs en terme de profit. Son mode de fonctionnement est simple. De plus en plus de sociétés financières ou d’assurances, parfois précédées par les économistes, attribuent un coût à la nature. Combien vaut la forêt d’Amazonie ? Quelle est la valeur marchande de l’incessant labeur de pollinisation accompli par les abeilles ? Jusqu’ici, l' »invisibilité économique » de la nature ne jouait pas en sa faveur : les marchés n’aiment ni l’abondance ni la gratuité. Mais avec la raréfaction des ressources et la disparition programmée de certaines espèces, l’équation a changé. La loi de l’offre et de la demande peut maintenant s’appliquer aux richesses naturelles. Ainsi, des banques et des fonds d’investissements, pourtant responsables de la dernière crise financière en date, achètent d’immenses zones naturelles riches en espèces animales et végétales menacées. Monétarisées et financiarisées, ces réserves sont ensuite transformées en produits boursiers possiblement spéculatifs. On peut donc acheter des actions « mouche », « orang-outan » ou « saumon ». En investissant dans ces titres, les entreprises polluantes obtiennent des « certificats de bonne conduite » qui les dispensent de suspendre leurs activités les plus néfastes…
La nature de l’argent
Fruit d’un patient et minutieux travail d’investigation, Nature, le nouvel eldorado de la finance met en relief les mécanismes d’un système naissant qui pourrait se révéler une entreprise de tartufferie mondiale. Interrogeant financiers, experts et penseurs, le film confronte les points de vue antagonistes et multiplie les exemples concrets de populations et milieux naturels menacés par ces nouvelles pratiques. L’enquête dresse un vaste panorama des intérêts en jeu et des lobbies en action autour de ce « nouveau » capital naturel, se demandant au final quelles valeurs défendent réellement ceux qui attribuent un coût à la nature. Une nouvelle crise financière pourrait en effet résulter de la spéculation et de l’effondrement de ces nouveaux marchés…
Un jour, dans la forêt d’Amazonie, un orage déclencha un gigantesque incendie. Les animaux terrifiés assistaient impuissants au désastre. Tous…sauf le petit colibri qui s’activait, allant chercher à la rivière quelques gouttes d’eau avec son bec pour les jeter sur le feu.
« Je fais ma part, je fais ma part! », répétait le colibri aux autres animaux incrédules.
Et si chacun faisait de même ?
Une légende amérindienne écrite et illustrée par Denis Kormann, racontée et chantée par Zaz, avec une postface de Pierre Rabhi. (livre CD)
1kg de pommes de terre Mona Lisa
0.6kg de carottes
1 part de céleri rave
1kg d’oignons jaunes
1 coulis de tomates
1 pain de sucre
1 part de courge musquée
1 légume surprise