Semaine 2 : bon… bah… en théorie, cela se passe toujours mieux…
Pour la détente, nous repasserons … Déjà parce qu’Olivier a la grippe depuis mardi. Donc autant dire qu’il y avait du boulot ! Je proposais gentiment mon aide à Carlos (et j’imaginais un truc pépère …) que nous voilà partis en mission poireau. Dix caisses en ferraille du poids d’un âne mort à tirer. Un tracteur qui manque de s’enfoncer tellement le terrain est gorgé d’eau (oui, c’est bien nos mains nues qui ont sorti les poireaux du sol). Une machine vieillissante (parce qu’elle était déjà là pendant mon adolescence et, maintenant, c’est mes filles qui sont ados …) pour mal les laver, mal les éplucher et c’était moi le maillon faible pour les mettre en caisse. Et je ne parle pas de ce nouveau parfum, eau de poireau, qui vous suit la journée suivante.
Ensuite parce qu’entre la météo défaitiste et le ciel plus jovial que prévu il est difficile de prévoir. Alors quand j’ai voulu prendre le tracteur jeudi matin pour aller aux choux mais que Laure l’avait déjà chargé pour la mâche (en serre) et que son argument était : la météo ne prévoit aucune goutte d’eau aujourd’hui, je l’ai écoutée. Et c’est ainsi que vous ressemblez à un chien mouillé à 17h parce qu’il a forcément plu …
Le bon côté des choses, c’est qu’on a tellement manqué à tout le monde que, eh bien … nous avons été dépouillés. Donc, cette semaine, ce sera à nouveau une recharge maximale des stocks pour la suite …
Et encore très belle année 2023 !