De l’eau en pagaille qui a réglé le sort à mon drame estival : les poireaux. Maintenant, leur sort est entre les mains de Dieu, parce que nous, on ne peut plus rien pour eux. On n’avait pas fini de désherber que l’herbe repoussait à l’autre bout, mais là, 60MM d’eau en une soirée (qui a tout de même fait écrouler un mur de pierres sur 20m, dérangeant pompier et pelleteur à 23h pour dégager la voie publique), fait que non seulement cela profitera à l’épanouissement de l’herbe mais qu’en plus aucune machine ne peut entrer dans le carré pour « consolider » ce qui est propre avant que la peur du vide de Dame Nature nous remette de l’herbe partout.
Et puis, on n’a plus le temps. Équipe très, très réduite dans les champs (mais qui donc a inventé les vacances quand les courgettes donnent ?!), donc on adopte la loi du 80/20, soit 20% de l’effort donne 80% du résultat.
N’empêche que depuis 3 ans, on a quand même plusieurs Toussaints dans l’année, mais moi, j’aimerais bien plusieurs 14 juillet
Bonne semaine.