Du vent à jouer au Magicien d’Oz, des légumes froids à faire tomber vos doigts et des minutes qui nous rapprochent de l’échappée belle… La semaine 50 de chaque année est un peu le moment où je touche le Graal. Mon efficacité est très, très réduite parce que j’ai juste envie de m’avachir dans un canapé ou de me traîner ailleurs que dans le champ… bref, vous l’aurez compris, c’est déjà le moment où je monte l’escalier des vacances.
Donc oui, il reste plein, plein de trucs à faire (et si nous nous ennuyons Carlos-le-Fourbe sort sa petite To Do List) mais mes mains ne veulent plus avoir froid et si j’ai bon espoir de nous voir finir de biner nos épinards pour Noël, l’idée de se planquer derrière le radiateur jusqu’au 23/12 me tente…
N’empêche, le fenouil est fini, la salade prend le même chemin, toutes les feuilles vertes stagnent en attendant que le jour bascule sur la nuit. Il faut encore tout couvrir, mais le vent se joue de nous pour l’instant. Et j’abandonne l’idée de désherber les vivaces avant quelques temps. Reste 30×140 cubes de mâches à planter pour nous occuper.
Et l’inventaire…
Et là, l’année sera bouclée…
Merveilleuse semaine !