Les pommes de terre sont enfin finies ! Maintenant, mon père se concentre sur la manière d’en rentrer le plus possible dans le moins de place possible (et aussi sur ses prochaines vacances qui commencent jeudi à 2h du mat’ direction l’Autriche).
Et nous, on espère ne rien oublier. Parce qu’il faut penser : à ramasser les potirons (et cette année, il y en a), à finaliser notre prochaine « porte ouverte », à éteindre l’arrosage dans les serres, à déclarer notre prochain sherpa (et oui, il se trouve qu’avec ma tante à la semi-retraite et des paniers en plus, un Portugais plus ou moins maçon veut s’essayer au maraîchage, mais avant de le faire ramper dans la boue tout l’hiver, on veut qu’il ait un aperçu de ce qui l’attend), à trouver du temps pour enlever l’herbe des poireaux (bien que ces dernières semaines, il n’y a pas que les poireaux qui en ait), à planter la mâche (et à priori, cette année, Benoît Vauxion, notre fournisseur de plants de salades, ne nous a pas oublié) et à respirer un peu.
A ce moment-là de la semaine, nous serons mercredi et on commencera à rayer avec bonheur ce qui sera déjà fait sur le planning.
Et on recommencera, à penser : à ne pas oublier les paniers de 20 euros des AMAP(il faut l’avouer, on a tendance à oublier, voire on le prépare et on le laisse à côté de la pile), à cueillir la fin de nos pommes, à préparer les lampions pour la porte ouverte (en fait, ça c’est le petit atelier ludique avant de s’amuser, mais c’est pour que vous enregistriez bien qu’il y a une porte ouverte le samedi 1er octobre), à cueillir les tomates en surveillant l’absence de maladie…
Bref, un superbe planning. Mais on le sait, tous les ans, c’est la même chose à cette époque. Donc, vivement Noël…
Bonne semaine.