Il fait beau (il ne pleut pas, donc il fait beau), la machine à patates est opérationnelle et il nous manque 2 gars… et peut-être un 3è après la crise « cardiaque » de mon père. Tout ça pour dire que les patates ne sont pas encore dans le frigo. Heureusement que l’année a fait qu’elles n’étaient pas nombreuses parce qu’entre le temps, le frigo (encore un moteur de mort mais il paraît que celui-là il n’a pas encore été changé, n’empêche qu’une formation de frigoriste ne serait peut-être pas malvenue) et les absences, ce n’est pas la fête de la patate.
Sans compter qu’avec 2 en moins dès le lundi, la semaine va être longue. Vivement samedi !
Avec tout ça, je n’ai pas encore semé les choux pointus, mais nos épinards le sont. Donc peut-être auront-ils du mal à être beaux avant Février, mais cela fera toujours plus tôt que Mars.
Nos bettes ont de jolies feuilles et après une année de mauvais esprit, il y a des chances d’en avoir assez bientôt pour les paniers. Et le poireau n’attend que la fin des patates, même si les premiers sont appréciés. Comme quoi on perd à se faire connaître.
Bref, les hommes sont sur les machines avec le Grand Chef sur l’accélérateur et les femmes aux champs avec la brouette en attendant un retour au calme, qui d’après le Grand Chef se profilerait pour la semaine prochaine si tout se passe bien. Mais comme il manque déjà du monde et des patates, il ne pourra pas y avoir encore en plus une panne. Trop de bonheur tue le bonheur, et on est vraiment trop fragile…
Bonne semaine.