Enfin des tomates. Peut-être pour pas très longtemps, mais des tomates tout de même.
Et des courgettes.
Et des haricots. D’ailleurs reprise de la cueillette : mercredi 9h30. Je ne sais pas ce qu’il y a. Enfin si, de l’herbe, un peu, des haricots, certainement (j’en ai vu tout à l’heure), des lapins, peut-être (il y en a un qui s’est enfui devant moi et certains rangs ont l’air d’être appréciés…). Et n’oubliez pas la polaire.
Et nous on désherbe les choux. D’habitude, on y est au 14 juillet, cette année, ce sera au 15 Août. Et après les choux, il y a les potirons. Et les poireaux. Et re-à nouveau, les céleris, les endives, le pissenlit, les panais, la chicorée, les choux fleurs. J’oubliais les carottes !
Et à ce moment, soit on sera vraiment au mois de novembre, soit on sera enterré sous l’herbe.
L’avantage, c’est que ce n’est pas la cueillette de tomates qui nous gênera dans le désherbage. Il est juste dommage que la taille nous ait autant occupé au printemps. On aurait su, on aurait tout misé sur de l’hiver. Au lieu de faire 8 000 pieds de tomates, on aurait planté 8 000 choux. Ils auraient été splendides… D’accord, vous un peu moins contents. Mais celui que je veux voir sourire à la fin de l’année, c’est mon comptable (et aussi mon banquier). Non parce qu’ici, on dit, il n’y a pas de mauvais outils, seulement de mauvais ouvriers, donc en transformant, cela donne : il n’y a pas de mauvais légumes, seulement de mauvais cuisiniers.
Donc, je suis persuadée que bien accommodé, le chou se mange même au p’tit déj’…
Mais cela, je vous laisse le découvrir !
Bonne semaine.