J’ai testé les truites proposées, de quoi se régaler, qu’elles soient fumées ou fraîches, en filets (truites de 1 à 2 kilos) ou en truite portion. C’est du poisson local, élevé de façon durable.
Si l’idée vous séduit, à vos cannes à pêche !
Gisèle
J’ai testé les truites proposées, de quoi se régaler, qu’elles soient fumées ou fraîches, en filets (truites de 1 à 2 kilos) ou en truite portion. C’est du poisson local, élevé de façon durable.
Si l’idée vous séduit, à vos cannes à pêche !
Gisèle
Les AMAPiens ayant apprécié les poulets en février, nous vous proposons une nouvelle commande de poulets qui sera livrée le 28 mars 2013. Merci de vous inscrire sur le tableau lors de la prochaine distribution. Des renseignements sur la production fermière sur:
Préparation :
Après avoir lavé le chou, le couper en fines lanières en éliminant le trognon. Peler et émincer finement les deux oignons. Peler, épépiner les pommes, les découper en très petits cubes. Faire tremper les raisins secs 30 minutes dans de l’eau bouillante.
Faire blondir les oignons et les pommes dans le beurre et l’huile. Ajouter les lanières de chou et les baies de genièvre. Saler et poivrer. Verser la bière et laisser cuire à feu vif pendant 5 minutes. Ajouter les raisins secs égouttés et laisser mijoter pendant 40 minutes. Un régal quand on aime le sucré-salé !
Préparation :
Éplucher, laver et couper le céleri-rave en cube. Le cuire à la vapeur 30 minutes.
Allumer le four thermostat 6 (180°) et badigeonner quatre ramequins avec le beurre fondu. Réduire la pulpe de céleri en purée fine.
Battre les trois œufs en omelette avec la crème. Puis, saler et poivrer. Ajouter la purée de céleri et mélanger. Cuire les flans au bain-marie pendant 20 minutes. Servir bien chaud.
Voici donc le lien pour regarder en « replay » l’émission « Silence ça pousse » et le sujet sur les locavores (à 12 minutes environ du début) tourné le 18 octobre au sein de notre association et chez notre maraîcher. Nous n’échapperons pas aux pages de publicité et parfois même pour un herbicide non recommandé, vraiment désolée.
Silence ! Les idées germent !
L’hiver, c’est la saison pour nourrir les oiseaux dans son jardin ou sur son balcon.
L’hiver, c’est bien sûr la saison pour nourrir les oiseaux dans son jardin ou sur son balcon. Même si lors des hivers assez doux, il est utile de les aider car leurs ressources alimentaires « naturelles » (graines laissées sur pied dans les cultures, baies dans les arbustes …) ont tendance à diminuer du fait des techniques agricoles modernes.
C’est aussi l’occasion d’observer des espèces qui le reste de l’année ne s’approchent pas des maisons (grives, troglodytes, mésanges, …).
Les différents types de mangeoires : (a) la mangeoire filet favorisant les espèces « agiles » comme les mésanges, (b) la mangeoire « trémie » en coupe, (c) la mangeoire « plateau » est la plus simple et attire beaucoup d’espèces et (d) la mangeoire faite avec une bouteille; très efficace. Dessin : Ornithomedia.com |
Si vous désirez mettre en place un nourrissage un peu plus » évolué » que de simples restes de repas jetés sur l’herbe, il faut penser à mettre en place des mangeoires.
Il existe différents types de mangeoires, adaptés à telle ou telle catégorie d’oiseaux.
Elles sont réservées aux espèces les plus » souples » : mésanges, sittelle torchepot, etc., qui sont donc capables de s’alimenter de façon acrobatique. On peut les fabriquer soi-même ou les acheter dans le commerce.
C’est l’image » classique » de la mangeoire : un compartiment à graines distribue petit à petit la nourriture aux oiseaux au fur et à mesure que ceux-ci la mangent.
Un petit présentoir abrité permet aux oiseaux de se nourrir à leur convenance. Les graines restent ainsi au sec et ne craignent pas (trop) les moisissures.
Il est possible d’acheter ces modèles dans le commerce ou de les fabriquer soi-même (un peu compliqué).
Le plateau avec ou sans toit peut être suspendu ou attaché sur un piquet, le mat est serré entre deux lattes, elles même vissées au plateau, le tout maintenu par une vis en travers. Peu sélective, elle est accessible à de nombreuses espèces.
Attention ! La pluie, l’humidité ambiante peuvent entraîner des moisissures.
Ce type de mangeoire est très économique et peut être fait avec une bouteille de plastique (notre dessin). La trémie à un bâton permet de présenter des graines.
Il est aussi possible de placer une bouteille renversée avec un plateau en dessous : elle donne de bons résultats, si l’espace entre le goulot et le couvercle suspendu est bien réglé (moins de 1 cm). Le haut est découpé en couvercle et rétréci à chaud.
La boîte en carton est une autre matériel de récupération efficace, d’un coût nul et d’usage courant. Avec très peu de moyen, elle servira surtout à la sensibilisation des jeunes enfants, qui prendront plaisir à ce découpage.
Prenez cependant grand soin à bien rincer le carton, car le lait ou le jus pourri n’ont rien d’agréable à manipuler. Donc un rinçage énergique et un séchage préalable sont fortement conseillé.
Fabriquer des pains de graisse : quand il fait froid, la margarine et les boules de graisse du commerce sont tout à fait recommandées mais en raison de leur prix, il est possible de fabriquer des pains de graisse recouverts de graines, si la « demande » est forte. Comment faire ?
Deux conseils : ventilez bien la pièce et fabriquez au moins quatre à cinq briques en même temps… mais quelle économie !
La nourriture de base semble être représentée par les graines de tournesol strié qui sont appréciées par tous les granivores (Verdiers d’Europe, Pinsons des arbres et du Nord, etc.) mais aussi par toutes les mésanges, ainsi que par le Chardonneret élégant et le Rouge gorge familier qui récupèrent les petites miettes que les Verdiers mettent partout autour du point de distribution. Remarque : dans les jardineries, les graines de tournesol strié sont plus grosses qu’à Carrefour ou Leclerc pour un même prix : c’est important car l’enveloppe n’est pas consommée.
Il peut être intéressant économiquement d’acheter en gros, par sacs de 3 kg.
Pics | Grives | Merles | Mésanges | Rouge gorge | Pinsons | Verdiers | Moineaux | |
Tournesol strié | X | X | X | X | X | |||
Maïs fortement concassé | X | X | X | |||||
Avoine aplatie | X | X | X | X | X | X | X | |
Riz cuit | X | X | X | X | X | |||
Millet rond | X | X | X | X | ||||
Noix de coco, arachides | X | X | ||||||
Noix, noisette, farine | X | X | ||||||
Amandes | X | X | ||||||
Ver de terre, asticot | X | X | X | X | ||||
Graisse végétale, beurre | X | X | X | X | ||||
Suif, saindoux, lard nature | X | X | X | X | ||||
Créton de boeuf | X | X | ||||||
Déchets de viande fraîche | X | |||||||
Pomme, poire | X | X | ||||||
Raisins secs | X | X | ||||||
Feuilles de salade | X | X | ||||||
Pomme de terre cuite, pain, biscotte | X | X | ||||||
Fromage de Hollande | X |
Robert Morez, agronome de terrain et agroécologue, a consacré une grande partie de sa vie à la défense du vivant et proné une agriculture respectueuse de son environnement. Avec les Cahiers de l’Agroécologie, il nous propose une synthèse des savoirs accumulés au cours de ces années. C’est l’occasion pour le lecteur de découvrir, au fil de ces 12 cahiers, les fondements de l’agroécologie et les pratiques qui en découlent.
Préparation:
Éplucher, laver et couper les panais en fines tranches. Les mettre dans une poêle avec une cuillère d’huile d’olive et deux ou trois cuillerées d’eau. Les faire cuire à couvert pendant 10 minutes. Puis ajouter du persil, du poivre, un peu de sauce de soja pour saler et colorer et au dernier moment quelques cuillères de crème de soja. Servir chaud avec de la viande grillée par exemple.