1 betterave
1 kg de pommes de terre
1 kg de tomates
1 bette
1 herbe aromatique
0,5 kg d’oignons rouges
1 part de courge spaghetti
1 part de pastèque
1 betterave
1 kg de pommes de terre
1 kg de tomates
1 bette
1 herbe aromatique
0,5 kg d’oignons rouges
1 part de courge spaghetti
1 part de pastèque
La rentrée se rapproche avec le surcroît de travail. Les vacances ne sont qu’un souvenir et il faut maintenant se jeter dans la course d’automne. Surtout que nos idées de faire melons et pastèques oscillent entre réussite et interrogation. Pour la pastèque, il n’y a qu’à la cueillir quand la petite feuille et sa vrille tourbillonnée près de la queue sont desséchées. Pour le melon, nous savons qu’il est mûr quand il se détache de sa tige, mais nous n’avons pas encore repéré le moment juste avant: celui où il sera sucré mais pourra attendre 3 ou 4 jours chez vous… et aussi la mauvaise surprise de constater qu’ils s’abîment beaucoup plus en serre qu’en plein champ. Disons qu’il aurait fallu les tourner il y a quelques semaines pour ne pas que l’humidité stagne sous eux, favorisant la pourriture.
Après, il y a les haricots qui se sont bousculés un peu en fin de semaine. Au moins, il y en avait à cueillir et les 70 mètres de rang semblaient parfois bien longs !
Heureusement (ou pas), les tomates font leur princesse et traînent des pieds pour mûrir. Nous sommes à flux tendu et espérons que ce WE de plein soleil leur donne envie de rougir en quantité suffisante pour prolonger l’été sur vos papilles…
Merveilleuse semaine !
1 aubergine
1 kg de courgettes
3 kg de tomates
1 kg de pommes de terre
1 côte de bette
1 herbe aromatique
1 oignon
Une semaine de ciel gris et nous voilà projetés en automne. Pas encore prêt à arracher le poireau, mais le céleri et quelques courges sont impatients de se trouver sous nos attentions. C’est donc en fermant déjà un peu la porte de l’été que nous entamons la deuxième quinzaine d’Août. Les nuits fraiches nous indiquent qu’il est temps de recommencer à fermer les serres la nuit, sous peine de ne plus voir murir tomates et courgettes (et de les ouvrir le matin, de peur de favoriser le mildiou sur nos tomates !) Donc retour du travail en fanfare (et le retour de nos clients aussi) après l’accalmie de début Août et le plaisir d’un jour férié, apprécié à sa juste valeur.
N’empêche, il faut prévoir plus loin. Recommencer à jouer à Tétris en tenant compte des futures rotations. Le persil est donc planté stratégiquement : en serre verre pour en avoir un peu cet hiver, dans un carré qui n’en a pas vu depuis au moins 3 ans et qui laissera la place aux tomates en avril… les bettes qui sont en grande partie sous serre plastique, auront droit à un carré aussi en serre verre pour que le moindre rayon allonge ses feuilles avant l’explosion du printemps où elles seront trop nombreuses.
L’équilibre entre le trop et le pas assez. Entre vos désirs et nos possibilités…
Merveilleuse semaine !
Une grande partie des AMAPiens sont en vacances, ce qui donne des paniers un peu plus fournis que d’habitude.
Donc des tomates en quantité raisonnable (elles sont revenues!) et début des aubergines, même si les pieds ne sont pas très beaux…
Toujours des haricots, et une salade pour la fraîcheur…
Les pommes de terre, c’est pour faire oublier le sevrage et nous espérons que l’arrosage sera suffisant pour en avoir plein cet hiver…
Les tomates se savaient sous pression et ont tout donné. Bref, nous avons la bonne quantité pour les coulis, sans en avoir d’avance. Même si le fait de voir la 3e saison prendre de l’avance sur Septembre nous laisse penser à une baisse de régime quand tout le monde rentrera… mais n’anticipons pas !
Nous attaquons notre 2e tour de désherbage. Reste moins d’une journée dans notre dentelle de choux, et les céleris nous font le chant des sirènes. Les haricots se décident, même si les fortes chaleurs leur ont laissé des fils. Et les guêpes ont élu domicile dans le carré de fraises, se gavant de sucre et trouvant nos barquettes plus accessibles que les fruits cachés sous le feuillage… donc une petite bagarre pour les éloigner de notre butin.
Et des melons qui semblent être de bonne humeur et bien vouloir nous accorder de beaux fruits. Nos premières pastèques pourraient être mûres dans 15 jours. Ou peut-être plus tard… nous verrons bien !
Merveilleuse semaine !
Après une semaine de fournaise, les tomates ont arrêté de mûrir et c’est donc en raclant les fonds de tiroir qu’on a bouclé l’amap du vendredi. Cette semaine, c’est rationnement des quantités, histoire de les laisser reprendre leur rythme. A priori, les haricots n’ont pas souffert de la chaleur (ou bien est-ce l’intensité des arrosages?)
Naturellement, les courgettes sont toujours au taquet, les concombres un peu timides et pas très vigoureux. Mais l’aubergine, encore absente, devrait arriver la semaine prochaine si les fruits tiennent leurs promesses.
En tout cas, nous espérons que vous n’avez pas fondu avec la chaleur…
0.6 kilo de tomates
1,5 kilo de courgettes
0.7 kilo de pommes de terre
0.8 kilo de haricots verts
1 herbe
1 concombre
0.4 kilo de tétragone
En principe, les tomates donnent à plein à cette époque. C’est le moment où nous aimerions un ralentissement. Mais cette année… ben, nous courons après les tomates. Pas un seul kilo d’avance. Nous sommes à flux tendu. Nous savons que cette semaine, moins chaude, permettra de relancer la machine. C’est juste que la première partie des coulis est prévue pour lundi prochain et qu’il nous en faudrait d’avance… ce qui n’est absolument pas le cas actuellement…
La bonne nouvelle est le temps dégagé pour cueillir les haricots qui se décident enfin après avoir joué les timides. Mais surtout, une baisse des températures (encore que Nelson, Congolais, a enfin pu enlever son pull) qui nous fait apprécier le travail en serre. Il y a aussi les aubergines qui se refont une santé. Les coccinelles ont adoré grignoter le milliard de pucerons qui se baladaient sous les feuilles. Bon, il en reste un peu, certainement pour leur goûter… dans tous les cas, les aubergines commencent à donner plus d’un fruit par pied, ce qui est bon signe. Les poivrons sont un peu moins d’attaque.
En revanche, les altises ont trouvé les choux et leur ont fait un sort. Idem pour les radis noir : nous avons eu le temps de voir apparaitre deux feuilles et de voir tout disparaître avant le coucher du soleil. D’où notre investissement dans un voile anti-insecte pour les navets à venir…
Au final, nous n’avons pas fondu sous la chaleur. Il y a des choses négatives comme le ralentissement des rendements et l’obligation d’arroser au maximum pour ne pas laisser griller, mais les beaux jours ont de positif qu’il est bien agréable de travailler sous un ciel bleu où l’horizon est inatteignable…
Merveilleuse semaine !
Nous sommes sur un créneau estival, même si les tomates sont à flux tendu pour le moment. La chaleur ralentit leur mûrissement, ce qui est plutôt une bonne chose dans le sens où Carlos perd beaucoup de temps à arroser de l’aube à la nuit noire.
Et les aubergines, poivrons risquent d’être les grands absents de cet été. Même si les coccinelles et autres dévoreurs de pucerons ont envahi les plants, les pucerons restent extrêmement présents et font couler les fleurs pour la fructification.
Mais réjouissez-vous, les courgettes ont l’air d’aimer la vie et sont, comme chaque année, généreuses. Enfin surtout celles de plein champ, parce que les pucerons les avaient appréciées un peu trop en serre…
1.2 kilo de tomates
1.5 kilo de courgettes
1 kilo de pommes de terre
1 salade
1 herbe
1 botte d’oignons
0.6 kilo de tétragone
Les choux sont finis de désherber, alors nous nous précipitons dans les poireaux qui sont maintenant finis, mais les carottes semblent bien vertes d’herbe au loin… bref, à peine fini dans un coin, qu’un d’autre prend le relais. Et pour occuper nos matinées, les tomates réclament notre attention en nous étouffant de chaleur. Et les haricots se décident à être plus nombreux, mais pas nous. Et il y a l’eau à mettre en place partout, tout le temps. Tous ont soif, et nos jambes sont trop courtes. Vite, vite, le temps file et nous courons après.
Sans parler du petit jeu que les garçons se sont offerts : au moment de planter les pommes de terre, ils n’ont pas vu que deux variétés totalement différentes (parce que cela aurait été trop facile autrement…) étaient dans les mêmes sacs… donc au final, l’Anaîs (chair tendre et ronde) se retrouve mélangée à l’Anoé (chair ferme et allongée). L’avantage est qu’ils les reconnaissent très bien, l’inconvénient est que c’est plus long à récolter… à croire qu’ils voulaient mettre un peu de fun dans leur vie…
Merveilleuse semaine !